Par Jacques
BENILLOUCHE
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Le
nouveau président de la Tunisie, Kais Saïed, qui doit faire face à un chômage
énorme de 35% chez les jeunes, à une corruption endémique, à un manque d’infrastructures,
à une population en détresse, à des menaces islamiques, à un tourisme en
baisse, à un trou énorme de 200 milliards d’impayés à la suite de la faillite
de Thomas Cook, n’a trouvé qu’Israël comme bouc émissaire. En effet il est en
faveur «d’une loi qui criminalise la normalisation avec Israël. Nous sommes
en guerre avec l’entité sioniste et toute relation avec celle-ci doit être
qualifiée de haute trahison».
Saïed |
Saïed
vient de mettre ses actes en accord avec sa doctrine puisque le ministre des
Affaires étrangères, Khemaïs Jhinaoui a été poussé à la démission, ce mardi 29
octobre 2019. La Kasbah avait annoncé qu’il avait été limogé. Dans sa lettre de
démission, il explique qu’il est dans «l’impossibilité de poursuivre sa
mission à la tête du département qui exige une harmonie entre les institutions
de l’État».
Nous
avions écrit un article le 7 février 2016, au titre certes provocateur, mais tellement d'actualité
UN «SIONISTE» À LA TÊTE DU
MINISTÈRE TUNISIEN DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES
Lire l'article du 7 février 2016 en cliquant sur le lien
1 commentaire:
Décidément, tous ces pays musulmans se ressemblent dans la médiocrité et l'horreur de leur acte, comment rester optimiste..?
peu t être la jeunesse qui a l'air de se réveiller..
Après, on voit bien que la surpopulation de ces pays, mais aussi du reste de la planète est un vraie problème et toujours rien, heu si, la Tunisie les envoie rejoindre les islamistes, ou migrants en Europe, du grand n'importe quoi...
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