A la gare du Nord, en plein
jour, un homme a été agressé et égorgé et son bourreau est toujours en fuite.
Une tentative de meurtre sanglante, au mobile inconnu, au milieu de la foule,
dans l’une des gares les plus fréquentées de France, cela n’émeut (presque)
plus personne tant le sang qui coule devient une sale habitude. Mais cette fois
ci, nul ne fait semblant de s’en émouvoir ni de s’y intéresser: pas de
gesticulation, aucun défilé de personnalité, pas de communiqué. Les politiciens s’étripent sur les mots.
A-t-on le droit de parler
d’ensauvagement? Bataille de mots, bataille de formules magiques, comme si
marteler quinze fois le même mot comme un perroquet avait jamais suffi à régler
le moindre problème. Et il se trouve encore une personnalité clé du pouvoir
pour affirmer que l’insécurité n’est qu’un sentiment. «Sentiment
d’insécurité» : l’insécurité serait un sentiment, une impression, une
illusion. Ceux qui le disent ou ceux qui le pensent ont-ils des enfants,
mettent-ils jamais le pied dehors, dans la rue ou le métro? 812.000 victimes de
la violence en un an. Et Charlie, et le Bataclan, et Nice, et la gare de
Marseille, oubliés? La vraie guerre, les massacres perpétrés sur le territoire
français par la barbarie islamiste, 260 morts, n’auraient-ils jamais existé?
La France est otage de deux
extrêmes: les uns au plus haut sommet de l’État, ont la tête dans le sable
idéologique et continuent de penser que l’insécurité n’est qu’un sentiment; en
face, des charognards démagogues exploitent la violence sanguinaire dans un
intérêt électoral (l’Élysée vaut bien un
aboiement). Aveuglement et démagogie font semblant de se combattre mais se
valorisent mutuellement dans un jeu complice. Il faudrait des années voire des
décennies de courage, d’efforts et de volonté acharnée pour mettre fin au
délitement de l’État qui se traduit dans le chaos sanguinaire et restaurer
l’ordre dans ce pays, mais la pente que nous suivons en ce moment est
diamétralement opposée.
ça émeut juste lorsque ce sont nos politiques, ou des personnalités, qui se font égorger... Autrement, effectivement, les citoyens ordinaires n'intéressent personne (je fais allusion aux médias ou politiques), ils n'ont pas d'identité propre aux yeux du monde, ils ne sont en fait connus de l'Administration que par un numéro, ils sont, pour ce monde comme les médias disent finalement : ANONYMES, c'est-à-dire SANS NOMS, donc sans existence. Heureusement qu'il n'en est pas de même pour ce qui concerne Dieu qui aime sa créature et qui, pour preuve de son amour, a fait quelque chose de CONCRET pour elle : "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique (Yeshoua - grécisé Jésus) afin que QUICONQUE (donc pas de discrimination de personnes) CROIT en lui ne périsse point mais qu'il ait la vie éternelle..." (Bible, Evangile selon Yohanan-Jean, chap. 3, v. 16). Heureusement que Dieu est là, LUI...
RépondreSupprimerLa religion et Dieu, Marx et Lénine, Staline et Hitler, et tous les grands et hauts de ce bas monde sont aussi responsables de violences, aucune religion, pas même le bouddhisme, ne transcende la nature perverse de l'homme, un être de lumière souvent très sombre. Les messages de Jésus étaient dans le judaïsme, et il ne fut pas en rupture. Ni lui, ni les grands penseurs juifs et musulmans, ni les humanistes n'ont jamais réussi à empêcher la folie de l'homme et de la femme.
RépondreSupprimerA E. Doubchak :
RépondreSupprimerCela, c’est vous qui le dites. Maintenant, voici ce que la BIBLE nous dit tout d’abord au sujet de cette NATURE PERVERSE DE L’HOMME : «C’est pourquoi, de même que par un seul homme (Adam) le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort est passée sur TOUS les hommes, parce que TOUS ont péché...» (Epître de Saul-Paul aux Romains, chap. 5, v. 12). Donc MÊME origine de la nature perverse humaine pour TOUS les êtres humains : La désobéissance d’Adam.
Par conséquent, voici ce que la BIBLE nous dit ensuite au sujet de la solution à cette nature humaine dans le même passage qui continue ainsi : «Ainsi donc, comme par une seule faute (celle d’Adam) la condamnation s’étend à TOUS les hommes, de même par un seul acte de justice (la mort de Yeshoua, grécisé Jésus), la justification qui donne la vie s’étend à TOUS les hommes. En effet, comme par la désobéissance d’un seul homme (Adam) TOUS ont été constitués pécheurs, de même par l’obéissance d’un seul (Jésus), beaucoup seront rendus justes...» (v. 18-19)
Donc MÊME solution au péché pour TOUS les êtres humains : JESUS.
Or voici ce que la BIBLE nous dit au sujet de Jésus :
- par l’apôtre Yohanan-Jean : «Au commencement était la Parole… et la Parole était Dieu… Elle est venue chez les siens… mais à tous ceux qui l’ont reçue, elle a donné LE POUVOIR DE DEVENIR ENFANTS DE DIEU, à ceux qui CROIENT en son nom… La Parole a été faite chair et elle a habité parmi nous… la grâce et la vérité sont venue par le Messie, Jésus… Jean le Baptiseur a dit : Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde...» (Evangile de Jean, chap. 1)
- Et par Saul-Paul : «Car par une seule offrande, Jésus a rendu PARFAITS à perpétuité ceux qui sont sanctifiés.» (Hébreux 10, 14).
Ainsi, par la FOI en Jésus et en son œuvre rédemptrice, TOUT être humain déchu, et empêtré dans sa folie humaine, S’IL ACCEPTE LE MESSAGE DIVIN DE SALUT EN JESUS, peut être rendu JUSTE, PARFAIT, étant devenu ENFANT DE DIEU par la FOI, dans la FOI. Il s’agit là non pas effectivement d’une transcendance, c’est-à-dire d’un dépassement, mais mieux : d’un changement total, en fait véritablement d’une METAMORPHOSE : La chenille humaine rampant sur la terre devient un papillon humain évoluant dans l’espace céleste.
JESUS SEUL peut empêcher, et stopper la folie humaine de quiconque se tourne vers lui avec espoir et foi...
La dernière fois qu'une "amie" chrétienne croyante m'a parlé, elle m'a dit que l'existence même d'Israël était contraire à la foi et empêchait le retour du Christ. Je ne lui ai pas tendu l'autre joue, surtout quand lui disant que le sionisme était né de la répression des Juifs et de leur oppression dans l'Europe et en particulier dans la Russie tzariste, elle m'a ressorti les vieux poncifs que les Juifs étaient un état dans l'état.
RépondreSupprimerSi vous croyez pouvoir convertir un seul juif avec votre croyance, et l'usage de majuscules, vous vous trompez.
En ce qui me concerne, toutes les formes de la foi qui n'admettent pas le droit fondamental de ne pas croire sont des idéologies criminelles et nuisibles.
A E. Doubchak :
RépondreSupprimer1. Pour ce qui concerne votre « amie » chrétienne, il me semble qu’elle ne connaît absolument ni Dieu ni Jésus ni les Ecritures ni Israël ni, apparemment, la FOI véritable… C’est pourquoi, lorsque quelqu’un vous sort des inepties pareilles, je vous conseille dorénavant de lui demander ses sources, et les références BIBLIQUES, je dis bien BIBLIQUES, afin de vérifier les passages en question. Car chacun de nous a la possibilité de se procurer une BIBLE complète (qui va de la Genèse à l’Apocalypse), de prendre le temps de la lire régulièrement en demandant à Dieu, qui l’a inspirée, de vous révéler sa parole, de réfléchir à son message, et de prendre ensuite une décision claire, nette et définitive par rapport à son message. Ce n’est pas plus compliqué que cela car d’un autre côté, c’est trop facile de dire qu’on ne veut pas croire à cause de…
Pour ce qui me concerne, on m’a un jour offert une BIBLE, que j’ai ouverte et littéralement dévorée comme des mets succulents, et bue les paroles comme si j’avais été privée d’eau depuis plusieurs jours. J’en ai pris connaissance, et au fur et à mesure que des questions me venaient à l’esprit, je les posais directement à Dieu qui s’est toujours arrangé pour me faire comprendre ses réponses. Je n’ai jamais eu de gourou, ou de conducteur ou de guide spirituel, ou je ne sais qui ou quoi, j’ai juste lu avec un coeur ouvert et sincère et désirant connaître LA VERITE, et Dieu m’a ouvert les yeux et les Ecritures. Et ma décision par rapport à Yeshoua, Messie d’Israël et Sauveur-Rédempteur, je l’ai prise en toute connaissance de cause, et toute seule, comme la grande fille que j’étais, AVEC L’APPROBATION DIVINE.
Dieu n’est pas mort, il est vivant, et de même qu’il est entré en relation avec Adam et Eve, Caïn, Abel… Abraham, Isaac, Jacob-Israël, beaucoup de leurs descendants, Moïse, Aharon, et bien d’autres encore, avec Jonas, Zorobabel, Néhémie, etc., Saül, David, Salomon etc., son désir le plus grand est d’entrer en relation et de communiquer en toute intimité avec celui ou celle qui l’aime, et qu’il aime, qui veut le connaître et faire sa volonté.
2. Loin de moi de chercher à convertir qui que ce soit, c’est un exercice pour lequel je ne suis absolument pas douée, et qui, j’ose dire, ne m’intéresse absolument pas. À noter que l’usage des majuscules c’est pour appuyer sur certains mots. Par contre, je cherche et je ne peux que faire ce que je fais, par exemple avec vous : essayer de « débroussailler » au mieux le chemin du message biblique et de la foi pour vous en faciliter, s’il est possible, la compréhension...
3. Pour ce qui concerne « le droit fondamental de ne pas croire », il vous est acquis car Dieu ne force personne à croire en lui. Par contre, il vous faut cependant savoir qu’il n’existe que DEUX CHEMINS : Le chemin de la vie, donc de DIEU, et le chemin de la mort, donc de la MORT. C’est ce que le Seigneur a dit à Israël, par la bouche de ses serviteurs, par exemple :
- en Deutéronome 30, 19 : « J’ai mis devant toi la vie et la mort… CHOISIS la vie afin de vivre. »
- en Josué 24, 15 : (Josué dit à Israël) «CHOISISSEZ aujourd’hui qui vous voulez servir : soit les dieux que vos ancêtres servaient de l’autre côté de l’Euphrate, soit les dieux des Amoréens dans le pays desquels vous habitez. Quant à ma famille et moi, NOUS SERVIRONS L’ETERNEL. »
Donc « le droit fondamental de ne pas croire » avec les conséquences qu’il en résultera vous est libre mais bien prendre conscience que si vous ne voulez pas croire en Dieu alors automatiquement cela veut dire que vous marchez sur le chemin de la MORT, car il n’y a que DEUX OPTIONS. Mais pourquoi ne pas croire alors que Dieu nous aime, et l’a prouvé, et aspire à nous rendre heureux, à nous aimer et à nous apprendre à l’aimer ?