Le traître de la Chanson de Roland, responsable du piège où périt le héros. |
L’uniformisation de la pensée, le martèlement du
message médiatique, «M. Macron fait la course en tête» écrase toute
réflexion, toute tentative de débat. En ce moment, les Ganelon de bas étage
prolifèrent, ce qui n’est jamais bon signe. La félonie est à la mode. Tout
débat d’idées ou réflexion sur les projets d’avenir (en dehors des vertiges de
la démagogie ou de l’extrémisme) est écrasé, anéanti, bafoué… Une immense
lassitude est en train de couvrir le pays effaré. Toute la machine se met en
branle en vue de la réélection assurée de M. Macron sur les ruines de la
démocratie française. Les Français dans leur ensemble n’en veulent absolument
pas, et lui-même, malgré son maquillage, ses airs jupitériens et sa stature
martiale n’opère aucune percée dans l’opinion. Mais quand même, le pays se met
en ordre pour sa réélection sur fond de chaos.
Honte absolue : ce sont les contribuables qui
financent ce spectacle affligeant. Forcément, tout cela va mal finir, pour les
acteurs de cette comédie, personnellement, cela ne fait aucun doute – et peu
importe -, mais aussi pour la France, cette grande absente, ce qui est dramatique.
C'est bizarre mais ca me rappelle d'autres pays.
RépondreSupprimerLe tableau n'est pas brillant et manque de panache mais la France n'est pas en aussi mauvais point que vous le décrivez !
RépondreSupprimerLe Président profite de sa position, ce qui n'est pas très démocratique, mais il n'est pas le premier et tant que les Présidents pourront se représenter pour un 2° mandat, ça risque fort d'âtre toujours la même chose !
A part qu'il n'y a pas de Zemmour israélien...
RépondreSupprimerBonjour
RépondreSupprimerVous déclarez je vous cite : « La félonie est à la mode. Tout débat d’idées ou réflexion sur les projets d’avenir (en dehors des vertiges de la démagogie ou de l’extrémisme) est écrasé, anéanti, bafoué… »
On ne peut être que d’accord avec vos propos.
Cela dit, ce serait une félonie que de penser que l’élection française n’est pas inclusive à une Europe centraliste.
Une Europe inclusive qui impose un syncrétisme immigrationniste qu’elle qualifie elle-même de musulmanne, chamboulant de fait une France laïque qui envisage un nouveau concordat opposant jadis celui du judaïsme et du protestantisme pourtant séculaire en France pour les juifs depuis Saint Louis et naturelle pour la branche protestante de la chrétienté.
C’est un véritable débat de société qui s’impose à la France, et plus largement à l’Europe.
Le politiquement correct qui nous est imposé par opposition à un humanisme largement dévoyé par la doxa de la bien pensance, qui assimile allègrement la migration des peuples à une condition religieuse, imposant de nouveaux mœurs et coutumes aux nationaux, et plus largement aux européens.
L’omettre serait une omerta à l’endroit des électeurs pour la prochaine élection présidentielle en France.
Bien cordialement
DdeAM
RépondreSupprimer« Le 9 juin 2005, il (Maxime Tandonnet) entre au cabinet du ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy, comme conseiller affaires intérieures et immigration, chargé du suivi de la politique d’immigration et d’intégration des populations d’origine étrangère… »
On comprend mieux sa rancoeur actuelle , lui qui a eu un temps les rênes en mains qu’a -t-il fait pour que la France ne ressemble pas à ce qu’il décrit?