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lundi 19 octobre 2020

Radicalisme islamique en France, un homme décapité. Francis MORITZ

 

RADICALISME ISLAMIQUE EN FRANCE, UN HOMME DÉCAPITÉ 

Par Francis MORITZ

 

 

Samuel PATY,  Professeur décapité

          On croyait avoir tout vu, tout entendu et tout vécu depuis les derniers attentats dont le procès est en cours à Paris. La barbarie de ce qui vient de se passer est un acte inouï de cruauté et de sauvagerie ! Le professeur d’histoire de 47 ans qui a montré des caricatures du prophète à ses élèves dans son collège à Conflans-Sainte-Honorine près de Paris avait sans doute des intentions pédagogiques. Mal lui en a pris.


L'Assemblée apprend la nouvelle



Son agresseur en cours d’identification serait d’origine tchéchène, à vérifier, en a manifestement eu connaissance. Ce qui représentait à ses yeux, une insulte, un crime contre le prophète. Il a littéralement égorgé et décapité sa malheureuse victime, non sans avoir diffusé une photo morbide sur internet, ce qui est une horreur de plus, avant d’être abattu par les services de sécurité alors qu’il menaçait des passants. L’enquête établira comment l’information lui est parvenue et on aura peut être des surprises.



Ce nouveau crime, à la suite d’autres tout aussi sanglants, illustre si besoin était la situation créée par des décennies de laxisme, d’immobilisme et de déni de la réalité. La France, qui possède la plus grande communauté musulmane d’Europe de l’Ouest évaluée à plus de dix millions, a totalement échoué dans son intégration à la République de tous ses apports post coloniaux. Lorsque le président de la République a utilisé une nouvelle formule dans la sémantique politique, après incivilités, ensauvagement, en évoquant le séparatisme islamique pour ensuite revenir en arrière en évoquant, pour le coup les valeurs de la laïcité. Quelle qu’en soit la raison, on voit encore ici à quel point il est difficile à nos grands dirigeants d’aller au fond des choses.


Le ministre de l’éducation a déjà déclaré : «C’est la République qui est attaquée». Soyons clairs, c’est nous tous et nos libertés. Faudra-t-il s’interdire d’avoir une opinion, de ne pas aimer telle ou telle religion, tel ou tel dirigeant, tel ou tel homme politique ? Il y a va de la liberté de penser, de la liberté de s’exprimer. En un mot de la faculté à chaque individu d’être un citoyen à part entière, sans devoir empiéter sur celle de son voisin, c’est la limite.

Discours d'Emmanuel Macron



On ne cesse pas d’être dans la réaction, réaction après l’évènement alors qu’on prétend savoir ce qui ce trame, réaction parce qu’il faut sur les plateaux de télé, avoir des réponses fourre-tout, genre la République ne laissera pas ses valeurs violées et bafouées ! La belle affaire. Le discours même musclé n’a jamais été la bonne médecine. On n’en est plus ni à la III°, ni à la IV° République, à l’époque des discours enflammés qui faisaient recette.

La situation actuelle, après les attaques des commissariats aux fusées de feux d’artifice, avec l’intention de tuer et les chauffards sans permis au volant de voitures volées qui écrasent des policiers, appelle à des décisions concrètes. Cet attentisme, ces hésitations n’ont que trop duré. La population est déjà accablée par la pandémie et ses effets dévastateurs tant au plan sanitaire, économique que moral et psychologique pour en accepter beaucoup plus.



Prenons garde, avant que ne se constituent des groupes privés armés à l’image de ce qui se passe aux États-Unis, chacun voudra faire sa loi. Il faut agir vite et fort et surtout ne pas s’arrêter ! Sans hésitation. L’unité nationale, la paix civile est à ce prix. Il faut en finir avec les discours et les promesses. Il faut des actes, encore des actes et pas uniquement au nom d’une communication bien conduite. 

12 commentaires:

  1. Le professeur était menacé depuis plusieurs jours
    Le sénateur LR Bruno Retailleau a indiqué sur Europe 1 que le professeur décapité "faisait l'objet de menaces depuis plusieurs jours" après un cours sur la liberté d'expression en classe de 4e au cours duquel il a montré des caricatures du prophète. Selon lui, "il en avait fait part à sa hiérarchie". Mais vraisemblablement, il ne faisait pas de protection particulière, selon les sources.

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  2. "Ils ne nous diviseront pas", affirme d'un ton martial, le Président de la République !
    Mais il n'était que de regarder le "Face à Face" entre Jean-Pierre Chevènement et Éric Zemmour, diffusé par CNews au moment même où cette décapitation sauvage d'un professeur des écoles devant son collège, venait d'être perpétré au nom d'Allah, pour comprendre que les Français sont déjà - peut-être irrémédiablement - divisés !

    https://www.cnews.fr/emission/2020-10-16/eric-zemmour-face-jean-pierre-chevenement-1008702

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  3. Véronique Allouche17 octobre 2020 à 12:51

    Puisque l’état est incapable de juguler ce phénomène il reste la seule arme encore possible contre l’ignorance et l’intolérance : l’instruction. C’est avec cette arme que les enseignants, tous les enseignants feront cours sur la laïcité et la liberté de penser. L’intelligence doit dire son dernier mot et j’ose espérer qu’elle vaincra l’obscurantisme.
    Bien à vous

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  4. La France a perdu plus de 40 ans enfermée dans ce politiquement correct qui a eu raison d’elle !La lâcheté des élites la veulerie des islamo gauchistes pour des raisons électoralistes,ont créé le cratère du séparatisme !!!

    Le temps pour l’islamisme radical, le salafisme des frères musulmans de, l’intégrisme de s’installer et prendre leur aise, en exigeant toujours plus de mosquées et d’écoles islamistes !

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  5. C'est bien sûr scandaleux, ignoble, effrayant, mais ce malheureux professeur a joué avec le feu ! Dans le cadre d'une heure consacrée à la "liberté d'expression", quitte à montrer des images à ses élèves, il pouvait tout aussi bien leur faire découvrir toutes les caricatures qui ont jailli lors de la révolution française, celles qui ont accompagné l'ascension et la chute de Napoléeon, ou celles de la Restauration. Il a fait une erreur pédagogique. C'est comme si un type descendait dans une arène pour apprendre à un taureau la douceur du textile en lui agitant un drap devant le museau sans s'attendre à se faire encorner ! Depuis les attentats de Charlie Hebdo on sait que ce type de public, même d'âge scolaire, est "sensible" à certaines allusions. Faut anticiper, non ? Ils réagissent pas comme nous, il faut partir de là. C'est une victime du déni de réalité dans laquelle on entretient l'opinion depuis près d'un demi siècle !

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  6. Véronique Allouche18 octobre 2020 à 08:48


    @yaacov Neeman :
    Vous écrivez : »Ce professeur a joué avec le feu » ..... et plus loin : « ils réagissent pas comme nous.», en gros j’entends dans vos lignes « il l’a bien cherché », vous tenez le même raisonnement que la majorité des musulmans.
    Et donc parce qu’ils ne réagissent pas comme nous il faudrait s’autocensurer pour ne pas les froisser? Il faudrait se taire pour ne pas faire de vagues? Nous sommes en plein procès Charlie Hebdo, des hommes et des femmes ont été assassinés parce qu’ils faisaient leur métier qui déplaisait à certains.
    La liberté d’expression n’a pas de prix car c’est la liberté tout court qui est en jeu. Ce professeur n’a pas joué avec le feu, il a illustré son propos avec des caricatures qui ont mené à un massacre et qui symbolise l’abolition de la liberté de la presse, autrement dit de ce qui fait qu’un peuple puisse rester debout.

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  7. ingrid Israël-Anderhuber18 octobre 2020 à 08:54

    A Véronique Allouche :
    A mon avis, ce n’est pas que « l’état est incapable de juguler ce phénomène » puisque c’est lui en fait qui en est véritablement à l’origine, et qui continue d’ailleurs toujours largement à alimenter ce phénomène. En effet, l’état français d’aujourd’hui est le résultat politique de tous les gouvernements favorables à l’Europe qui se sont succédés depuis celui qui a ouvertement méprisé la volonté du peuple français exprimée il y a quelques années par voie référendaire qui était le « NON » à l’Europe. Ce « NON » à l’Europe, ce n’était pas un « non » radical à l’immigration mais un «non » à l’immigration de masse (automatiquement) INCONTRÔLEE. Par conséquent, les véritables responsables de la situation actuelle sur le sol français, ce sont ces gouvernements successifs qui ont initié, au moyen des différents traités, ces vagues d’immigration de masse qui sont venues AVEC… avec leur dieu ! Disons-le . Car si la France se targue d’être laïque (forme MASQUée en fait d’athéisme), les migrants, quasiment tous CROYANTS, quant à eux sont fiers de leur dieu et le font savoir en l’imposant OUVERTEMENT sur le sol des gentils Français qui, tellement gentils, ne disent rien car il faut comprendre que le pays des droits de l’homme se doit d’accueillir tous les hommes, tous les migrants de tous les pays, et d’être compréhensifs non seulement avec ces derniers mais encore avec leur culture et particulièrement leur… CULTE ! Disons-le franchement, soyons honnêtes. Sauf que les Français ont juste oublié que si Dieu, le Dieu de la Bible, qu’ils ont OUVERTEMENT rejeté par la mise en place de toutes les lois iniques (je ne vais pas les énumérer) contraires à la morale (excusez-moi ce terme mais je n’en ai pas trouvé d’autre), eh bien c’est le DIABLE qui règne. Et alors, là, on toutes les chances (excusez-moi du terme) de voir l’obscurantisme s’étendre de plus en plus sur le pays, et triompher, obscurantisme contre lequel, pardonnez-moi de le dire, l’intelligence HUMAINE ne fait absolument pas le poids...

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  8. (((Je remets en ligne, sans les fautes d'orthographe...)))
    A Véronique et Ingrid : Essayez d'avoir une lecture systémique de ce qui se passe.
    La déchristianisation du Vieux continent est la cause de l'islamisation de l'Europe. La divinité a horreur du vide.
    Tant que les églises étaient pleines, le Créateur se disait "Bon, bien que leur foi soit imparfaite à Mes yeux, il y a en bas de gens qui pensent à Moi." Mais maintenant, alors que la pratique chrétienne est en déroute en Europe, sur qui puis-Je compter pour proclamer mon Nom ? Les Juifs ? Malheureusement non ! Je les aime bien, mais ils se sont interdit tout prosélytisme : leur religion reste enfermée dans leur synagogues. Et c'est bien dommage, car leur monothéisme est vraiment Mon message, celui que Je leur ai adressé au Mont Sinaï. Alors il Me reste l'Islam. A travers leurs excès, ils proclament qu'il existe une divinité unique : Moi, le Créateur. Certes leurs excès sont une profanation de Mon Nom -- qui est Shalom -- mais J'ai créé l'humanité, et pour l'instant il n'y a qu'eux pour vous rappeler que Je suis à l'origine de tout."

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  9. ingrid Israël-Anderhuber19 octobre 2020 à 09:44

    à Yaakov Neeman,
    Vous dites : «La déchristianisation du Vieux continent est LA CAUSE de l’islamisation de l’Europe.» Ou dit autrement : l’islamisation de l’Europe est L’EFFET de la déchristianisation. Or voici des dates-clés de la déchristianisation de la France, pour ne prendre que cet exemple européen particulièrement parlant :
    * mai 68 avec ses fameux slogans dont notamment «ni Dieu, ni maître», «Il est interdit d’interdire», «faites l’amour (sexe) pas la guerre» etc., slogans révolutionnaires, libertaires, symboles de la contestation et de la rébellion générales et du rejet de toute forme d’autorité et de limites, dans quelque domaine que ce soit.
    * 1981 : Légalisation de l’avortement. Donc permis de tuer. Or...
    Or par quoi ce vide de la déchristianisation dont vous parlez a-t-il été IMMEDIATEMENT et rapidement comblé ? Tout simplement par l’immoralité et la perversion sexuelle, le laxisme des gouvernants dans la gestion des pays, l’absence d’autorité, l’intensification de la corruption, de l’injustice (deux poids deux mesures), des inégalités sociales, financières plus criantes que jamais (les riches deviennent plus riches, et les pauvres plus pauvres), etc.
    Le vide de la déchristianisation a été rempli par la pratique sans frein et jouissive du péché (mal par rapport aux valeurs divines judéo-chrétiennes) sous toutes ses formes, à tous les niveaux de la société. Et ce avec une telle montée en puissance constante qu’aujourd’hui nous en sommes arrivés, par exemple, à l’avortement utilisé, et financé, sans état d’âme comme banal moyen de contraception, ou par exemple encore, à la reconnaissance de la perversion, ou déviation sexuelle (détournement de l’usage naturel et normal du sexe) comme «bien», notamment dans le cas de l’homosexualité. Disons les choses comme elles sont. Par conséquent il est faux de dire que «la déchristianisation de la France et du Vieux continent est LA cause de l’islamisation» puisque les conséquences premières et directes de la déchristianisation n’ont pas été l’islamisation de la France et du Vieux continent mais la libération, et la pratique du péché sous toutes ses formes qui fait de notre société aujourd’hui une société complètement immorale, dépravée, injuste, inhumaine, évaluant sans cesse l’humain par rapport à la jauge de la finance, sous l’aspect de son rapport à l’argent et de ce qu’il rapporte à l’argent…
    Par contre, pour voir de quoi véritablement l’islamisation est L’effet, ou dit autrement pour connaître LA cause de l’islamisation, qui n'est pas la déchristianisation, il suffit d’observer, et d’analyser les effets dans notre, nos sociétés européennes dont l’islamisation est la cause…

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  10. ingrid Israël-Anderhuber19 octobre 2020 à 13:03

    A Yaakov Neeman :
    Juste une petite correction suite à une confusion de ma part dans mon commentaire précédent qui vous était adressé : La loi pour l’interruption volontaire de la grossesse date de 1975 sous la présidentielle de V.G.d’E. Donc 1975 (et non pas 1981) a été une date-clé dans la déchristianisation de la France.

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  11. >> à Ingrid :
    Dans la chronologie de la déchristinanisation, on pouvait remonter plus haut : avec Luther, qui ébranle la toute-puissance du socle chrétien, puis avec le mouvement des Lumières qui porte en lui la revendication laïque, qui aboutira à la loi 1905 par laquelle l'Etat prend ses distances par rapport à l'Eglise. Donc la déchristianisation n'est pas le fait de 1968, mais la résultat d'une évolution commencée plusieurs siècles avant. Quand j'écris que "la divinité a horreur du vide", je veux simplement signifier que le Créateur, qui continue à gérer le monde en dépit de toutes nos folies, utilise pour l'instant l'Islam, foi imparfaite, issue du judaïsme, pour rappeler son omniprésence à Ses créatures. Pour l'instant, l'Islam est le seul courant sur lequel Il peut s'appuyer pour nous rappeler à Son existence. Pendant près de 2 millénaires, le culte chrétien a eu l'exclusvité de cette fonction. Comme cette acteur est passablement fatigué, le Grand metteur en scène a décidé de le rappeler dans les coulisses et de nous montrer ce que son concurrent avait à dire. Car l'Islam aussi à quelque chose à nous apprendre sur le monothéisme, sur D.ieu. En attendant que Jérusalem se réveille. Alors là, je vous dis pas...

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  12. ingrid Israël-Anderhuber20 octobre 2020 à 20:55

    A Yaakov Neeman,
    Dans la Bible il est écrit : «Ta parole est une lampe à mes pieds, Et une lumière sur mon sentier.» (Psaume 119, v. 105)
    La Parole de Dieu est contenue dans la Bible. Et c’est cette Parole, par sa lumière, qui dirige nos pas. Or, voici ce que Yeshoua (Jésus), assis sur la montagne des Oliviers, en face de Jérusalem, dit à ses disciples (tous Juifs à l’époque) qui l’interrogeaient sur son RETOUR : «Cette bonne nouvelle du royaume (le pardon des péchés en lui) sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. (…) C'est pourquoi, lorsque vous verrez l'abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint (donc à JERUSALEM), - que celui qui lit fasse attention ! (…) Instruisez-vous par une comparaison tirée du FIGUIER. Dès que ses branches deviennent tendres, et que les feuilles poussent, vous connaissez que l'été est proche. De même, quand vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l'homme (il parle de lui-même) est proche, à la porte. Je vous le dis en vérité (…) Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point.» (Bible, Matthieu-Lévy 24, 14-35)
    Ainsi, de même que la boussole indique toujours le nord, et nous permet de nous repérer dans l’espace par rapport à ce point cardinal, de même la boussole divine, qui est la Parole de Dieu contenue dans la Bible, nous permet de nous diriger et de nous situer, et de situer les événements, et les saisons du temps, et ce par rapport à JERUSALEM. JERUSALEM est le «nord» de la boussole divine, la Bible, et non pas Luther, ou les Lumières ou encore l’Église catholique (qui n’est pas, je le répète, le Christianisme ou Messianisme BIBLIQUE !) ou même le Judaïsme. Notre repère dans cette vie terrestre, que ce soit pour nous permettre de nous situer dans le temps et dans l’espace est Israël (symbolisé dans la Bible par le FIGUIER), et particulièrement JERUSALEM.
    JERUSALEM est le point cardinal de la boussole divine.

    Par ailleurs, vous dites que «l'Islam aussi a quelque chose à nous apprendre sur le monothéisme, sur D.ieu.».
    Yaakov, vous n’êtes pas sans savoir que dans la confession de foi de l’islam il est dit qu’Allah est Dieu, que Mahomet est son prophète et que Dieu n’a pas de fils. Par contre, dans la Bible, il est clairement dit que Yeshoua (Jésus) est le Fils de Dieu (Jean 1 ; Actes 9, 20 ; Marc 3, 11 etc.)
    Or voici ce que la Bible, Parole de Dieu et notre BOUSSOLE, en tout cas la mienne, déclare par la bouche de Yohanan, et ici je prends les termes aux racines grecques pour montrer le lien qui ressort de ces versets : «Qui est menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le CHRIST (égal Messie) ? Celui-là est l'antiCHRIST, qui nie le Père (Dieu) et le Fils. Quiconque nie le Fils n'a pas non plus le Père (Dieu) ; quiconque confesse le Fils a aussi le Père (Dieu).» (1 Jean 2, 22-23).
    Comme on le voit bien, la Bible n’est pas le Coran. Par conséquent on peut en déduire que le Dieu de la Bible n’est absolument pas le Dieu du Coran.
    Yaakov, on ne peut pas avoir DEUX boussoles qui indiquent DEUX «nord» différents, même fondamentalement opposés, et penser arriver à LA bonne destination : LE Ciel ! Il faut choisir votre boussole...

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