SLATE - LES DÉFIS DE TSAHAL EN 2018
Par Jacques BENILLOUCHE
Si l'Iran constituera le danger majeur pour l'État hébreu dans les mois à venir, l'armée israélienne ne devra pas pour autant négliger complétement le front de la bande de Gaza.
Si
l’année 2017 a été relativement calme sur le plan de la défense, Israël devra
faire face en 2018 à de nombreux défis militaires au Moyen-Orient : plusieurs
fronts sensibles sont en effet en voie de réchauffement.
Front
nord et Iran
La
région nord représente le défi le plus important et le plus risqué pour Israël.
Les responsables en matière de sécurité peuvent difficilement prévoir comment
la situation va évoluer, même s’ils disposent dans leurs cartons de différents
scénarios militaires.
Les événements du Liban –avec la démission surprise
du Premier ministre Saad Hariri, pourfendeur du Hezbollah et de l’Iran, puis
son retour au pays– avaient été l’occasion d’un retrait stratégique temporaire
du Hezbollah.
La
milice libanaise avait refusé de s’engager dans un bras de fer avec le
président Aoun, parce qu’elle n’était pas prête à prendre la responsabilité de
la chute du gouvernement libanais. Elle a préféré adopter un profil bas, pour
concentrer ses efforts sur la Syrie.
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Cher monsieur Benillouche,
RépondreSupprimerAlors que même monsieur Sitbon semble hésiter à commenter cet article sur les dangers qui guettent Israël en 2018, permettez-moi de vous demander ce qu'il en est de cette décision de Benjamin Netanyahou de donner jusqu'à fin mars à 40 000 migrants africains pour plier bagage, sous peine d'être emprisonnés ?
https://www.youtube.com/watch?v=s7D88KnSV04
Je vous souhaite ainsi qu'à vos lecteurs et commentateurs une très bonne année 2018.
Chère Marianne,
RépondreSupprimerMes meilleurs vœux pour 2018. Que vous soyez toujours présente pour commenter nos chroniques.
En ce qui concerne les clandestins en Israël au nombre de 40.000 environ, ils sont en voie d’expulsion vers un pays africain en échange de quelques dollars. Cela prendra du temps. Mais beaucoup d’Israéliens n’y trouvent pas leur compte car le pays manque de main d’œuvre à bon marché, sous-payée et docile, dans l’agriculture, dans les hôtels, dans les restaurants pour les travaux de bas-niveau sauf si la frontière s’ouvre pour les Palestiniens de Gaza comme le souhaite le ministre de la défense, Avigdor Lieberman.
Mais Netanyahou a besoin de redorer son blason alors les mesures radicales plaisent à certains.
Amitiés