La victime française Aaron Benitah |
Les attaques perpétrées par des Arabes sont de plus en plus audacieuses.
Les terroristes n’attaquent plus des Israéliens isolés sur des routes perdues
dans la nature. Ils agissent en plein
jour, en plein centre-ville, dans des centres commerciaux ou à Tel-Aviv,
à proximité du quartier général de l’armée près duquel circulent de nombreux
soldats en armes. Ces terroristes n’ont aucune chance de s’en tirer et ils le
savent. Le haut fait d’armes est hypothétique pour eux parce que la mort est toujours
au bout du chemin. Et pourtant ils agissent, ils persistent, ils persévèrent et
ils étonnent parce que le goût du suicide est toujours présent chez des jeunes
qui n’ont encore rien vu de la vie.
Ils trouvent dans le meurtre un moyen de se transcender, de «rêver
un impossible rêve, partir où personne ne part, tenter, sans force et sans
armure, d'atteindre l'inaccessible étoile. Peu m'importent mes chances, peu
m'importe le temps ou ma désespérance» (*). Bien sûr on n’oublie pas les
victimes, bien sûr on n’encense pas les assassins mais il difficile de faire
abstraction du fait que des adultes sont responsables d’avoir poussé leurs
jeunes à refuser la vie pour l’enlever à eux-mêmes et à d’autres. Faut-il qu’ils
soient intoxiqués ou drogués pour vouloir être des héros morts, des héros qu’on
oublie vite ? Faut-il qu’ils aient épuisé, si jeunes, tous les ressorts de
la vie et ses espérances pour s’armer d’un tournevis et tenter l’impossible ?
La haine instillée à petites doses en eux leur donne le courage qui manque à leurs aînés qui les
envoient se détruire pour ensuite s’auto-congratuler. Ces adultes sont certains
que leur Dieu, qui n’est pas le nôtre parce qu’il ne symbolise pas l’amour et
la pitié, saura les récompenser dans un autre monde, s’il existe et si l’on
veut bien d’eux là-bas. Comment peuvent-ils tuer au nom de Dieu s'ils ne le connaissent parce que celui qui n’aime
pas, ne peut pas connaître Dieu.
On se sait plus raisonner, on ne sait plus comment agir pour mettre fin
à cette spirale dramatique d’assassinats stériles qui transforment la Jérusalem
en or, en Jérusalem en sang. Je ne comprends plus mais ce qui est sûr c'est que nous allons dans le mur, nous et nos assassins, à moins que...
(*) Extrait de la chanson « La quête » tirée de l’homme de la Mancha
"Il y a des gens à qui la mort donne une existence." Louis Scutenaire
RépondreSupprimerMerci pour cet article.
Véronique Allouche
N'oubliez pas les sommes substantielles versées aux familles des "héros" et qui peuvent aussi pousser un jeune à un geste désespéré pour venir en aide à sa famille
RépondreSupprimerN'expliquer cette vague de terreur que par la propagande haineuse que subissent les jeunes terroristes et qui les fait passer à l'acte, n'est qu'un aspect du problème. Tu ne crois pas Jacques?
RépondreSupprimerC est la manipulation de la haine des le jeune age qui se poursuit par les programmes scolaires palestiniens haineux envers israel et tout cela melange a une corruption financiere qui detourne les finances et subventions enormes pour acheter des armes faire du terrorisme au lieu d apporter un mieux etre a leur population voila les raisons relles il y a dans le monde le meme schema que ce qui se passe pour les palestiniens le chaos immoral
RépondreSupprimerLes responsables sont ceux qui envpient les subventions enormes sans controle des depenses!!!
Les responsables??les leaders corrompus dans leur toute puissance qui apprenent aux jeunes la haine
RépondreSupprimerLes responsables? Ceux qui distribuent a cette clique de corrompus quo vivent dans des palais des subventions enormes sans aucun controle?pourquoi?
Les responsables? Les democraties qui ferment les yeux et font semblant de defendre le palestinisme
Arrive un stade d'exaspération où les gens jeunes ne peuvent plus se contenir ,explosent de rage tant les frustrations et les désillusions se sont accumulées et commettent des actes déments de ce type
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