REMERCIEMENTS ET VŒUX EN RETOUR
Le billet d'humeur de Jean SMIA
C'est avec une profonde
émotion que j'ai entendu la majorité des médias français souhaiter à ma
communauté leurs bons vœux pour notre nouvelle année. Cette ineffable
cordialité spontanée, soulignée par une incontestable sincérité, me fait en
retour leur souhaiter les plus grand succès à eux et à leur direction
éditoriale.
Ainsi, et en
conséquence, je ne manquerai pas de prier afin que tous ces braves gens soient
justement récompensés en compensation de leur incitation au sacrifice de leurs
propres enfants, de leurs frères et de leurs sœurs à la fière et noble cause du
Daesh qu'ils défendent avec tant de ferveur.
D'autre part, afin de
poursuivre sur le plan des congratulations, il est indispensable de souligner
que c'est grâce à leur finesse d'analyse et à la perspicacité de leurs
commentaires qu'ils ont fait de la France un pays que ces malheureux migrants
préfèrent éviter, permettant ainsi de leur faire croire que la France n'est
plus un pays où il ferait bon vivre. Cette subtilité dans l'anticipation nous a
évité un envahissement pour le moins encombrant, quant au nombre.
Il est tout aussi remarquable de
constater que cette posture n'est pas incompatible avec le fait de donner des
leçons de compassion et de fraternité humaniste à ceux qui oseraient prétendre
que les pays arabes ne sont solidaires, hospitaliers et généreux qu'à l'égard
de ceux qui projettent de détruire Israël. Leurs courageuses prises de position
contre l'actuel «politiquement correct» mérite un respect et une
considération proportionnelle à leur irréprochable éthique professionnelle.
Subitement il me vient un
détournement du texte de Jacques Brel : Et je
pisse comme ils pleurent sur ces commentateurs infidèles».
Non !
RépondreSupprimerJe me permets de rectifier...
Mon ami Jacques ne pissait pas sur les commentateurs infidèles, mais sur les femmes infidèles !!!
Cher ami,
RépondreSupprimerDans le film "le bon, la brute et le truand", on apprend "qu'il y a ceux qui creusent et ceux qui ont un revolver".
Ici, il y a ceux qui pleurent sur les infidèles et ceux qui pissent sur les infidèles: moi, je fais partie de la seconde catégorie.
Amicalement.